À seulement 20 ans, l'enduriste alsacien Jules Dreyer, s’est lancé dans un défi monumental : gravir l'équivalent du mont Everest, soit 8 848 mètres de dénivelé positif, en moins de 24 heures. Pour augmenter encore la difficulté de cet exploit, il a sélectionné quatre itinéraires au profil bien différent, au lieu d'emprunter le même sentier pour optimiser son effort. Découvrez son incroyable performance en vidéo.

Crédit photos : Killian B. Fischer

21 juin 2024 : devant Jules, quatre boucles de 1 200 mètres de dénivelé, prêtes à être conquises. Chaque boucle sera empruntée à deux reprises : des montées éprouvantes, des descentes techniques, et à chaque tour, un nouveau lot de défis physiques et mentaux à relever...

Quand on parle de l’Everest, on pense immédiatement aux sommets enneigés, aux alpinistes et aux sherpas qui ont écrit l’histoire de ce massif mythique. Mais pour Jules Dreyer, étudiant en médecine la semaine et vététiste chevronné le week-end, l’objectif était autre. Au guidon de son CUBE Stereo ONE55 C:62, c’est un voyage intérieur autant qu’un exploit physique qu’il a entrepris.

Ce type d’expérience, ça te pousse à chercher au fond de toi, à affronter des moments de doute, de fatigue extrême, mais c’est aussi ce qui te transforme.

Pour se préparer à gravir son Everest, Jules a passé plusieurs mois à jongler entre l’exigence de ses études de médecine et un programme d’entraînement intensif. Ses journées commençaient bien avant l’aube, pour lui permettre d’intégrer jusqu'à 20 heures d’entraînement physique hebdomadaire.

Originaire d’Alsace, Jules a naturellement choisi les sentiers du Grand Ballon pour relever son défi. En plus d’être le plus haut sommet des Vosges (1 424 m), le Grand Ballon offrait une variété de versants permettant de gravir et descendre la montagne par différents itinéraires. Bien qu'il ait réalisé plusieurs boucles, Jules a choisi de ne pas maximiser sa performance en répétant le même sentier, optant plutôt pour la difficulté et la diversité des parcours afin de rendre l’expérience encore plus exigeante.

On a souvent l’impression qu’il faut partir loin, dans des lieux exotiques ou inaccessibles, pour vivre des choses qui nous changent, mais la vérité, c’est qu’on peut vivre ces expériences à la maison. Ce n’est pas le lieu qui compte, mais l’intensité avec laquelle tu les vis.

Dans le but de pousser son défi au maximum de son intensité, Jules n’a pas opté pour un VTT de Cross-Country, pourtant plus performant en montée. Il a choisi de réaliser son exploit au guidon du CUBE Stereo ONE55, un modèle d’enduro polyvalent qu’il connaît bien et qu’il utilise depuis plusieurs saisons. Ce choix audacieux témoigne de son désir de rendre chaque aspect de son everesting plus exigeant, en préférant la polyvalence à la performance pure.

Pour moi le CUBE Stereo ONE55 offre un parfait équilibre entre performance en montée et maîtrise en descente. 

Le Stereo ONE55 C:62 de Jules 

  • Modèle : CUBE Stereo ONE55 C:62 TM
  • Taille : L
  • Cockpit : 760mm
  • Roues : Mavic crossmax SLR carbone (sans inserts)
  • Pneus : Vittoria Mazza Graphene (2.4 Av/Ar)
  • Multi outils ACID Tool Husk 24 intégré dans la boîte a gant
  • Poids : 13,5kg  

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